« Il est vraiment dommage que les murs n’aient pas contenu des phonographes, car il serait vraiment curieux aujourd’hui de les faire fonctionner et ils pourraient raconter une bonne partie de l’histoire cycliste.
En été, le Lavoir est abandonné, il y fait trop chaud et on n’y respire pas.
Les cyclistes, amateurs d’espace et d’air, le désertent avec un touchant ensemble pour se précipiter vers la terrasse, où sous l’ombre du grand velum et les yeux reposés par la verdure des arbres, on peut contempler l’animation de l’avenue de la Grande-Armée et le va-et-vient incessant des cyclistes. »