« Je dirai même, en cyclotouriste, que ces routes un peu égarées, délaissées, seront peut-être, bientôt, pour nous, un dernier refuge, avant la pratique du chemin muletier, que certains cultivent déjà. Il nous faut des machines légères, mais robustes, pour tous terrains. Et, comme dit ma concierge « qui peut le plus peut le moins ». »
Entre 1918 et 1939
Articles
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APRÈS LE CONCOURS D’AUVERGNE (1934)
15 novembre 2019, par velovi -
L’ŒUVRE DE VELOCIO (Suite) 1931-1936 : Le Cyclotourisme Moderne
22 avril 2021, par velovi« Quatre concours techniques en trois ans, plus le Chanteloup annuel, voilà qui aurait réjoui Velocio, toujours à l’affût du nouveau. »
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Cyclotechnie d’amateur (1929)
2 juin 2019, par velovi« Un cyclotouriste entre dans son domaine en quittant sa maison, tandis que, pour aller admirer un site catalogué que son guide lui a révélé, le piéton entre dans un train, l’autoïste dans une carrosserie où la nature leur semble aussi étrangère que lorsqu’ils étaient entre leurs quatre murs. »
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Meeting d’Automne 1929
20 septembre 2020, par velovi« Le col de Pavezin, belvédère merveilleux ouvert sur la vallée du Rhône toute proche et les Alpes lointaines, a offert le 29 septembre dernier, entre 9 heures et midi, un spectacle étonnant. A chaque instant, par les quatre routes qui y aboutissent, arrivaient des cyclistes, et encore des cyclistes, et toujours des cyclistes, tantôt isolés, tantôt en groupes et parfois en pelotons, précédés de fanions et accompagnés du vacarme de tous les appareils sonores imposés par le règlement. Et ces cyclistes venaient souvent de loin ; quelques-uns avaient pédalé toute la nuit, et d’autres avaient quitté Paris dès l’aube, samedi, pour être à Pavezin dimanche avant midi. Mais dans quel but, se demandent les profanes, pourquoi tant d’efforts, interrogent les autoïstes paresseux ? Je vais le leur dire. »
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Mon 14 juillet (1923)
14 juillet 2023, par veloviMon 14 juillet, Vélocio, Le Cycliste, Sept.-Oct. 1923, p.89-92, Archives départementales de la Loire cote IJ871/4
Pour cette fois, je l’avoue, le soleil et le siroco ont eu raison de ma ténacité et j’ai dû m’arrêter à 18 heures, ayant déjà tourné le dos au but que je m’étais proposé. N’avais-je pas formé le projet présomptueux d’aller, le 14 juillet, coucher à Embrun, pour, le lendemain, passer de bonne heure le Lautaret et redescendre ensuite à Grenoble d’où quelque train de nuit m’aurait rapatrié ! Ce (...) -
Le sentier cyclable doit être officiellement reconnu (Octobre 1920)
25 avril 2017, par velovi« il importe qu’aucune décision d’exécution, en quelques cas que ce soit, ne soit prise sans qu’on ait envisagé les besoins des cyclistes qui peuvent s’y rapporter . »
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Le vélodyne de Marcel Berthet (1933)
10 mars 2020, par velovi -
Hommage Vélocio 1853-1930
4 mars 2020, par velovi« DESTIN cruel et stupide ! L’homme qui avait parcouru, à bicyclette, plus de six cent mille kilomètres, passé tous les cols alpins, bravé un demi-siècle durant, les embûches de la route, a été tué par le marchepied d’un tramway ! »
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Chronique cyclotouristique (Concours des pyrénés 1934)
21 février, par velovi« la jante en bois, délaissée pendant quelque temps, semble devoir regagner du terrain. »
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Randonnées expérimentales (2de partie Vercors - 1921)
4 août 2022, par velovi« Je ne me pressai donc pas et je ne quittai le Refuge qu’à 14 heure, après avoir eu le tort de boire une bouteille de clairette, boisson toujours délicieuse, mais qui, ce jour-là, me laissa jusqu’au soir altéré et la bouche pâteuse. La clairette de Die serait-elle par hasard un de ces faux plaisirs contre lesquels nous met en garde Épicure ? »